La position africaine commune sur la réforme du Conseil de sécurité de l’ONU : une chimère ?

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FREDDY GASINDIKIRA RUTABA

Résumé

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Dans une société internationale en mutation quotidienne, le Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations Unies devrait être représentatif de l’ensemble de ses membres. Plusieurs critiques ont été émises contre sa composition actuelle et de ce fait des reformes ont été proposées. Le droit de véto est si décrié d’autant qu’il est jugé discriminatoire. Le Consensus d’Ezulwini révèle la position commune africaine de la réforme du Conseil de sécurité. Les origines de l’Organisation des Nations Unies nous donnent une meilleure compréhension sur la raison de la stagnation dans les discussions autour de la réforme du Conseil de sécurité. Le droit de véto taxé d’anachronique reste un véritable bâton dans les roues de la reforme onusienne.


Abstract


In a daily changing international society, the United Nations Security Council should be representative of all its members. Several criticisms have been leveled against its current composition and as a result reforms have been proposed. The right of veto is so decried as it is considered discriminatory. The Ezulwini Consensus reveals the common African position on the Security Council reform. The origins of the United Nations give us a better understanding of the reason for the stagnation in discussions around the Security Council reform. The right of veto, taxed as anachronistic, remains a real stick in the wheels of the United Nations reform.

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